JJournée de l’Ingénierie : ré-utiliser, ré-inventer, ré-générer Le Collège d’ingénierie Lyon-Saint-Étienne, qui regroupe Centrale Lyon, l’ENTPE, l’INSA Lyon et Mines Saint-Étienne, propose, lors d’un rendez-vous annuel, de questionner et qualifier, dans une démarche prospective, le rôle et la responsabilité de l’ingénierie en matière de décarbonation de l’industrie et des usages, d’économie circulaire et de numérique responsable.Pour cette première édition, l’évènement, ouvert aux acteurs de l’ingénierie du site Lyon-Saint-Étienne, aux acteurs socio-économiques, lycéens et étudiants, grand public et médias, propose d’aborder le triptyque suivant, Ré-utiliser, Ré-inventer, Ré-générer, à l’occasion de tables rondes, conférence et ateliers de médiation scientifique.>> Au programme :9h-9h30 : séance d’ouverture9h30-11h : Table ronde « Comment les industries d’un même territoire peuvent-elles travailler ensemble pour être plus vertueuses ? »11h15-12h45 : Table ronde » Comment l’économie de la fonctionnalité et de la circularité viennent-elles bouleverser les cahiers des charges de l’ingénierie ? »12h45-14h30 : Ateliers scientifiques14h30-16h : Table ronde « Innover autrement : du low-tech au right-tech »16h15-17h45 : Table ronde « Comment l’IA s’impose-t-elle comme un outil d’aide à la transformation de l’entreprise ? »18h-18h45 : Conférence « L géo-ingénierie pour freiner le dérèglement climatique : problème ou solution ? »18h45-20h : Débat « Comment l’ingénierie permet-elle de s’adapter au dérèglement climatique ? »>> Pour en savoir plus :Journée de l’ingénierieÀÀ propos du Collège d’IngénierieCréé en novembre 2022, le Collège d’Ingénierie Lyon-Saint-Étienne est une alliance en quatre écoles d’ingénieurs : l’ENTPE, Centrale Lyon, l’INSA Lyon et Mines Saint-Étienne. Plaçant l’ingénierie au service des transitions, le Collège élabore et déploie de nouveaux dispositifs en matière de formation, de recherche, d’innovation, d’entrepreneuriat et de médiation scientifique pour répondre à trois enjeux sociétaux prioritaires : industrie et société décarbonées, économie circulaire et société numérique responsable.
VVirginie Dumas, médaillée du CNRS : la tribologie au service des biomatériaux | Visages de la Science Virginie Dumas, ingénieure de recherche à l’École Centrale de Lyon et membre du Laboratoire de tribologie et dynamique des systèmes, a reçu en 2024 la médaille de cristal du CNRS. Elle est une spécialiste de la bio-fonctionnalisation des surfaces et de la caractérisation mécanique et biologique de tissus vivants et de biomatériaux. L’enjeu : optimiser les interactions entre les matériaux implantables, comme les implants dentaires, et les tissus biologiques afin de limiter les risques de complication. elle met ainsi au point des méthodologies, des procédés et des méthodes de caractérisation pour développer des connaissances précises sur le lien entre les propriétés biologiques et les topographies de surfaces structurées par laser femtoseconde.À l’occasion de cette distinction, elle revient sur son parcours et ses activités.>> Découvrez les médailles du CNRS 2024 sur le site : CNRS
AAméliorer les performances des marathoniens d’élite grâce aux formations de meneurs d’allure Tous les athlètes de haut niveau savent que la frontière entre la victoire et la défaite est mince. Les premières places se jouent à peu de chose, et les records sur des épreuves mythiques comme le marathon ont souvent atteint un plateau au fil du temps. Il est essentiel désormais d’optimiser tous les facteurs contribuant au succès, ce qui a donné naissance au concept de gains marginaux. Le célèbre entraîneur britannique Dave Brailsford a résumé ce concept dans une citation bien connue : « Améliorer chaque petit détail de l’organisation et de la préparation sportive de 1 % permet d’obtenir un avantage significatif lorsque tout est combiné ». Initialement appliquée au cyclisme, cette approche est devenue populaire dans presque toutes les disciplines sportives. >> Aller lire la suite de l’article sur le site :École central de Lyon
AAméliorer les performances des athlètes en fauteuil roulant Comment optimiser la performance des athlètes en fauteuil roulant lors des compétitions de para athlétisme ? Pour répondre à cette question, Maxime Michel, doctorant au Laboratoire de tribologie et dynamique des systèmes – LTDS, explore deux leviers d’amélioration : d’une part, le contact entre le pneu du fauteuil et la piste d’athlétisme, et d’autre part le contact entre le gant de l’athlète et le fauteuil au moment de la propulsion de la roue.>> Pour lire l’article, rendez-vous sur le site :école centralE Lyon
110 clichés sur les ingénieur.es Les clichés sur les ingénieur·es et les élèves ingénieur·es ont-ils une part de vérité ? Dans cette émission, nous avons rassemblé des Centraliens et Centraliennes pour les soumettre à un débat passionnant sur dix clichés courants. Préparez-vous à changer votre perception. Partagez votre opinion ! 0:00 – Les ingénieur·es passent leur vie au travail 3:54 – En école d’ingénieur·es, la vie étudiante n’est pas facile pour les filles 7:08 – Les ingénieur·es n’ont pas de culture générale 10:21 – Les ingénieur·es ne font plus de technique, ils travaillent dans les cabinets de conseil 13:09 – Les étudiant·es ingénieur·es sont individualistes et manquent de qualités humaines 15:23 – En école d’ingénieur·es les soirées passent avant les études 17:14 – Pour faire une école d’ingénieur·es, il faut être fils ou fille d’ingénieur 21:50 – Il n’y a que les majors de promo qui réussissent les concours d’ingénieur·es 24:06 – Les ingénieur·es de savent pas s’habiller 27:33 – Les ingénieur·es donnent des leçons en matière de climat mais n’œuvrent pas pour la transition écologiqueConsultez la chaîne YouTube de :école centrale
EExiste-t-il un lien entre la pollution aux métaux lourds et la résistance aux antibiotiques ? | #5 Ressource #5 du dossier Pop’Sciences – CNRS : « Résistance aux traitements : la recherche en quête de solutions »CHRONIQUE RADIODans le cadre du projet Paleo-MARE, Catherine Larose, chargée de recherche CNRS au laboratoire Ampère, étudie le rôle de la pollution aux métaux lourds dans la propagation de la résistance aux antibiotiques.© Vincent MoncorgéLes gènes de résistance : un long processus d’évolutionLa résistance aux antibiotiques existe depuis des millions, voire peut-être des milliards d’années. Les antibiotiques sont produits par les micro-organismes comme moyen de défense pour éliminer d’autres organismes : lors de la compétition pour l’accès aux ressources par exemple. S’ils produisent des antibiotiques, ils ont également besoin de développer des gènes de résistances aux antibiotiques pour se protéger. C’est un long processus de sélection évolutive.Parallèlement, en libérant des métaux lourds dans l’environnement et en altérant les flux géochimiques, les humains ont perturbé l’équilibre naturel à l’échelle planétaire. Les micro-organismes, très vulnérables aux métaux lourds ont aussi développé des gènes de résistance spécifiques.La présence simultanée de gènes de résistance aux métaux lourds et de gènes de résistance aux antibiotiques dans les génomes microbiens suggère une co-sélection.Comprendre l’origine et l’évolution de la relation entre les métaux lourds et la résistance aux antibiotiquesLe projet Paleo-MARE consiste à comprendre l’origine et l’évolution de cette relation. Ceci implique de retourner avant la période industrielle, depuis laquelle des métaux et des antibiotiques sont rejetés dans l’environnement. Pour ce faire, Catherine Larose s’appuiera sur l’analyse de carottes glaciaires qui permettront d’étudier, grâce aux éléments qu’elles renferment, des environnements remontant à des milliers d’années.>>> Catherine Larose est l’invitée de la chronique scientifique « Dis, pourquoi ? » du mois d’avril.Écoutez son passage radio en ligne.
LL’arte del costruire, composer avec le fleuve, progettare insieme al fiuve Lectures multiples des phénomènes fluviauxGénie civil – Architecture- Regards croisésFrance / ItalieDeuxième édition de « L’Arte del costruire » Au croisement entre génie civil et architecture, cette manifestation biennale franco-italienne est organisée par l’ECL, l’ENSAL, l’ENTPE et l’INSA Lyon. L’édition 2023, intitulée « Composer avec le fleuve / Progettare insieme al fiume», proposera des lectures multiples des phénomènes fluviaux à partir d’une confrontation entre la culture italienne et la culture française de l’aménagement et de la gestion des fleuves.Le programme, articulé sur plusieurs sites du Grand Lyon, prévoit des conférences, une table ronde, une joute de traduction, des visites et expositions, etc. VOIR LE PROGRAMME
EEnquête sur la sociologie du rire Qu’exprimons-nous de nous-mêmes, de nos expériences sociales, de nos relations aux autres et de nos opinions culturelles dans la déflagration instantanée du rire ?Laure Flandrin, maîtresse de conférences à l’École Centrale de Lyon (département SHLS) et chercheuse associée au Centre Max Weber a enquêté sur la « plus socialisée de nos émotions », selon l’expression de David Victoroff, psycho-sociologue du 20e siècle.Mais pourquoi rions-nous ? En quoi les mécanismes du rire sont-ils susceptibles d’être éclairés par les sciences sociales ? Longtemps chasse gardée de certaines disciplines (théologie, philosophie, littérature, psychanalyse), le rire s’est désormais ouvert à la sociologie et fait ici l’objet d’une enquête sur la réception des arts comiques conduite à hauteur de rieur. >> Retrouvez l’ouvrage de Laure Flandrin : Le rire, enquête sur la plus socialisée de toute nos émotions >> Écoutez la chronique de Laure Flandrin sur la sociologie du rire :RCF Lyon
NNanoparticules d’argent – Tueuses de coronavirus ? Une technologie à base de particules d’argent, destinée à des revêtements pourrait réduire la charge virale des coronavirus. Le procédé est développé et breveté par le groupe isérois SergeFerrari. L’analyse de Virginie Monnier, Maîtresse de conférences en chimie à l’École Centrale Lyon. Cette spécialiste de chimie des surfaces effectue son activité de recherche à l’INL – Institut des Nanotechnologies de Lyon.Lire la suite
LLes émotions en activités | MOOC « Émotions suscitées, partagées, perçues, maîtrisées : les émotions sous-tendent les activités des Hommes, qu’elles soient professionnelles, artistiques, militantes, communautaires… Ainsi, les émotions marquent le quotidien des Hommes et des êtres vivants. Connaître l’histoire et le sens du mot « émotion », savoir composer avec l’émotion collective, reconnaître et faire naître des émotions ou encore les partager sont autant d’enjeux à maîtriser.Si pour certains les émotions apparaissent comme un fabuleux moteur de créativité et de production des connaissances, pour d’autres, il apparaît nécessaire de s’en distancier pour être performant dans son activité professionnelle. À travers des interventions plurielles et des regards croisés, ce cours du CHEL[s] vous invite à venir parcourir le sentier tumultueux des émotions. »Co-produit par : établissements du Collège des Hautes Études Lyon Science[s] – CHEL[s], membres ou associés de l’Université de Lyon : ENS de Lyon, École Centrale de Lyon, Sciences Po Lyon, VetAgro Sup, Conservatoire national supérieur musique et danse de Lyon, École des Mines St-Étienne.Ce MOOC s’adresse à tout public souhaitant découvrir le sujet des émotions traité sous un angle pluridisciplinaire.Découvrir le MOOC :Les émotions en activitéshttps://www.dailymotion.com/embed/video/x7t4tobPPour s’informer avant le MOOC>> Pop’Sciences mag : Sous l’emprise des émotionsRéalisé par Pop’Sciences en partenariat avec les membres du collectif organisant la Semaine du cerveau à Lyon (CNRS Rhône-Auvergne, Fondation Neurodis, Inserm, Université Claude Bernard Lyon 1, LabEx CORTEX, CRNL)