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10 clichés sur les ingénieur.es

110 clichés sur les ingénieur.es

Les clichés sur les ingénieur·es et les élèves ingénieur·es ont-ils une part de vérité ?

Dans cette émission, nous avons rassemblé des Centraliens et Centraliennes pour les soumettre à un débat passionnant sur dix clichés courants.

Préparez-vous à changer votre perception. Partagez votre opinion !

 

 

0:00 – Les ingénieur·es passent leur vie au travail

3:54 – En école d’ingénieur·es, la vie étudiante n’est pas facile pour les filles

7:08 – Les ingénieur·es n’ont pas de culture générale

10:21 – Les ingénieur·es ne font plus de technique, ils travaillent dans les cabinets de conseil

13:09 – Les étudiant·es ingénieur·es sont individualistes et manquent de qualités humaines

15:23 – En école d’ingénieur·es les soirées passent avant les études

17:14 – Pour faire une école d’ingénieur·es, il faut être fils ou fille d’ingénieur

21:50 – Il n’y a que les majors de promo qui réussissent les concours d’ingénieur·es

24:06 – Les ingénieur·es de savent pas s’habiller

27:33 – Les ingénieur·es donnent des leçons en matière de climat mais n’œuvrent pas pour la transition écologique

Consultez la chaîne YouTube de :

école centrale

Existe-t-il un lien entre la pollution aux métaux lourds et la résistance aux antibiotiques ? | #5

EExiste-t-il un lien entre la pollution aux métaux lourds et la résistance aux antibiotiques ? | #5

Ressource #5 du dossier Pop’Sciences – CNRS : « Résistance aux traitements : la recherche en quête de solutions »
CHRONIQUE RADIO

Dans le cadre du projet Paleo-MARE, Catherine Larose, chargée de recherche CNRS au laboratoire Ampère, étudie le rôle de la pollution aux métaux lourds dans la propagation de la résistance aux antibiotiques.

© Vincent Moncorgé

Les gènes de résistance : un long processus d’évolution

La résistance aux antibiotiques existe depuis des millions, voire peut-être des milliards d’années. Les antibiotiques sont produits par les micro-organismes comme moyen de défense pour éliminer d’autres organismes : lors de la compétition pour l’accès aux ressources par exemple. S’ils produisent des antibiotiques, ils ont également besoin de développer des gènes de résistances aux antibiotiques pour se protéger. C’est un long processus de sélection évolutive.

Parallèlement, en libérant des métaux lourds dans l’environnement et en altérant les flux géochimiques, les humains ont perturbé l’équilibre naturel à l’échelle planétaire. Les micro-organismes, très vulnérables aux métaux lourds ont aussi développé des gènes de résistance spécifiques.

La présence simultanée de gènes de résistance aux métaux lourds et de gènes de résistance aux antibiotiques dans les génomes microbiens suggère une co-sélection.

Comprendre l’origine et l’évolution de la relation entre les métaux lourds et la résistance aux antibiotiques

Le projet Paleo-MARE consiste à comprendre l’origine et l’évolution de cette relation. Ceci implique de retourner avant la période industrielle, depuis laquelle des métaux et des antibiotiques sont rejetés dans l’environnement. Pour ce faire, Catherine Larose s’appuiera sur l’analyse de carottes glaciaires qui permettront d’étudier, grâce aux éléments qu’elles renferment, des environnements remontant à des milliers d’années.

>>> Catherine Larose est l’invitée de la chronique scientifique « Dis, pourquoi ? » du mois d’avril.
Écoutez son passage radio  en ligne.

L’arte del costruire, composer avec le fleuve, progettare insieme al fiuve

LL’arte del costruire, composer avec le fleuve, progettare insieme al fiuve

Lectures multiples des phénomènes fluviaux

Génie civil – Architecture- Regards croisés

France / Italie

Deuxième édition de « L’Arte del costruire »

Au croisement entre génie civil et architecture, cette manifestation biennale franco-italienne est organisée par l’ECL, l’ENSAL, l’ENTPE et l’INSA Lyon. L’édition 2023, intitulée « Composer avec le fleuve / Progettare insieme al fiume», proposera des lectures multiples des phénomènes fluviaux à partir d’une confrontation entre la culture italienne et la culture française de l’aménagement et de la gestion des fleuves.
Le programme, articulé sur plusieurs sites du Grand Lyon, prévoit des conférences, une table ronde, une joute de traduction, des visites et expositions, etc.

 

VOIR LE PROGRAMME

 

Affiche de l'évenement , Fleuve passant sous un pont

Enquête sur la sociologie du rire

EEnquête sur la sociologie du rire

Qu’exprimons-nous de nous-mêmes, de nos expériences sociales, de nos relations aux autres et de nos opinions culturelles dans la déflagration instantanée du rire ?

Laure Flandrin, maîtresse de conférences à l’École Centrale de Lyon (département SHLS) et chercheuse associée au Centre Max Weber a enquêté sur la « plus socialisée de nos émotions », selon l’expression de David Victoroff, psycho-sociologue du 20e siècle.

Mais pourquoi rions-nous ? En quoi les mécanismes du rire sont-ils susceptibles d’être éclairés par les sciences sociales ? Longtemps chasse gardée de certaines disciplines (théologie, philosophie, littérature, psychanalyse), le rire s’est désormais ouvert à la sociologie et fait ici l’objet d’une enquête sur la réception des arts comiques conduite à hauteur de rieur.

 

>> Retrouvez l’ouvrage de Laure Flandrin :

Le rire, enquête sur la plus socialisée de toute nos émotions

 

>> Écoutez la chronique de Laure Flandrin sur la sociologie du rire :

RCF Lyon

 

 

Nanoparticules d’argent – Tueuses de coronavirus ?

NNanoparticules d’argent – Tueuses de coronavirus ?

Une technologie à base de particules d’argent, destinée à des revêtements pourrait réduire la charge virale des coronavirus.
Le procédé est développé et breveté par le groupe isérois SergeFerrari. L’analyse de Virginie Monnier, Maîtresse de conférences en chimie à l’École Centrale Lyon. Cette spécialiste de chimie des surfaces effectue son activité de recherche à l’INL – Institut des Nanotechnologies de Lyon.

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Les émotions en activités | MOOC

LLes émotions en activités | MOOC

« Émotions suscitées, partagées, perçues, maîtrisées : les émotions sous-tendent les activités des Hommes, qu’elles soient professionnelles, artistiques, militantes, communautaires… Ainsi, les émotions marquent le quotidien des Hommes et des êtres vivants. Connaître l’histoire et le sens du mot « émotion », savoir composer avec l’émotion collective, reconnaître et faire naître des émotions ou encore les partager sont autant d’enjeux à maîtriser.

Si pour certains les émotions apparaissent comme un fabuleux moteur de créativité et de production des connaissances, pour d’autres, il apparaît nécessaire de s’en distancier pour être performant dans son activité professionnelle. À travers des interventions plurielles et des regards croisés, ce cours du CHEL[s] vous invite à venir parcourir le sentier tumultueux des émotions. »

Co-produit par : établissements du Collège des Hautes Études Lyon Science[s] – CHEL[s], membres ou associés de l’Université de Lyon : ENS de Lyon, École Centrale de Lyon, Sciences Po Lyon, VetAgro Sup, Conservatoire national supérieur musique et danse de Lyon, École des Mines St-Étienne.

Ce MOOC s’adresse à tout public souhaitant découvrir le sujet des émotions traité sous un angle pluridisciplinaire.

Découvrir le MOOC :

Les émotions en activités

PPour s’informer avant le MOOC

>> Pop’Sciences mag :

Sous l’emprise des émotions

Réalisé par Pop’Sciences en partenariat avec les membres du collectif organisant la Semaine du cerveau à Lyon (CNRS Rhône-Auvergne, Fondation Neurodis, Inserm, Université Claude Bernard Lyon 1, LabEx CORTEX, CRNL)

 

Quand l’Internet des objets grappille de l’énergie

QQuand l’Internet des objets grappille de l’énergie

Mobiles ou éloignés des prises, les capteurs communicants sans fil qui composent l’Internet des objets ont des besoins particuliers. Le grappillage de l’énergie ambiante, qu’elle soit thermique, mécanique ou encore lumineuse, peut leur permettre de s’alimenter de manière autonome.

Toujours plus petits et bavards, les appareils électroniques s’étendent en véritables réseaux d’objets communicants. En croissance exponentielle, cet Internet des objets dépasse l’usage domestique et concerne maintenant tous les secteurs d’activité : les transports, l’industrie, la médecine, l’armée, l’aérospatial… On estime qu’il existe cinquante milliards d’objets connectés dans le monde, pour un marché d’environ cinq cents milliards de dollars.
Mais comment tous les alimenter ? À quoi brancher un pacemaker ou une balise posée sur le dos d’une baleine ? Le grappillage d’énergie propose de puiser directement dans l’environnement immédiat. « On essaye d’alimenter ces appareils sans avoir à passer par des piles ou des batteries, qu’il faudrait changer régulièrement, souligne Romain Bachelet, chargé de recherche CNRS à l’Institut des nanotechnologies de Lyon (INL).

L’intégralité de l’article disponible sur :

CNRS LE JOURNAL

Le parcours MACsup

LLe parcours MACsup

MACsup : un projet collaboratif entre étudiants, enseignants-chercheurs et artistes

Le projet MACsup est une expérimentation lancée en 2017 par le Musée d’art contemporain de Lyon et ses trois partenaires universitaires historiques, l’Université Claude Bernard Lyon 1, l’École Centrale de Lyon et l’École normale supérieure de Lyon, accompagnés par les Pratiques artistiques amateurs de l’ENSBA. Basé sur une envie commune d’imaginer une rencontre originale entre les processus de recherche scientifique et de création artistique, MACsup est un projet coopératif, transdisciplinaire et privilégiant une pédagogie active qui associe des étudiants, des enseignants chercheurs et des artistes.

Une dizaine de séances de travail d’octobre à mars conduisent à un weekend de restitution public au musée d’art contemporain. Les échanges sont riches, les apprentissages multiples et tous témoignent d’une expérience unique et originale. Le public est au rendez-vous, enthousiasmé par cette rencontre avec l’enseignement supérieur et la recherche dans le cadre du Musée d’art contemporain.

La saison 1 a été conduite par les artistes Félix Lachaize et Thierry Boutonnier avec les projet BAC+couches de poussière et RUBISco.
Jan Kopp et Félix Lachaize ont animé la saison 2 en concevant avec leur groupe Sur le chemin des Poudingues et le Percefac ; les étudiants et chercheurs de l’INSA ont rejoint le projet.

MACsup a démarré sa troisième saison en octobre 2019 avec 3 artistes Jan Kopp, Nicolas Daubanes et Linda Sanchez et de nouveaux partenaires qui se joignent à l’aventure : l’Université Jean Moulin Lyon 3, l’EMLyon Business school et l’association Singa Lyon (insertion des migrants).

Contact pour plus d’informations.

Ce projet est rendu possible grâce au soutien de la Région Auvergne Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon, de la DRAC, de l’Université de Lyon (IDEX- CDproIP), du CNRS, et des établissements et laboratoires impliqués dans le projet.

Projet MACsup : l’enseignement sup au MAC de lyon

PProjet MACsup : l’enseignement sup au MAC de lyon

Deuxième week-end de restitution MACsup au MAClyon !

Les 7 et 8 avril entrez dans les débats entre science et écologie, art et politique, avec des étudiants, des enseignants-chercheurs et l’artiste Thierry Boutonnier.
Après l‘Odyssée MACsup de Félix Lachaize, le deuxième groupe qui inclut des étudiants de l’ENS et Olivier Raymond, chercheur au RDP, présentera ses recherches.

Venez tisser les fils d’une installation, parler de vos accablements et planter des pieds de maïs devant le musée !

Voir la présentation du projet ici

Samedi :
14h-16h : écriture et tissage de l’installation
16h-18h : discussion

Dimanche :
14h-16h : écriture et tissage de l’installation
16h-18h : rituel de plantation du maïs

Depuis octobre 2017, des étudiants et enseignants-chercheurs de l’université Lyon 1, de l’ENS de Lyon et de l’école Centrale se sont lancés dans l’aventure macSUP. Deux groupes, menés par les artistes Félix Lachaize et Thierry Boutonnier, ont mis en commun les savoirs, les méthodes, les modes de pensée, propres à leur domaine d’activité pour proposer aux visiteurs du Musée d’art contemporain deux week-ends de restitution et d’expérimentations aux confins de l’art et la science.

Ce projet a reçu le soutien de la Région Auvergne Rhône-Alpes

 

Semaine internationale de la transition énergétique

SSemaine internationale de la transition énergétique

Un état de l’art des énergies renouvelables dans différents pays a été réalisé, incluant une analyse de l’évolution du mix énergétique. Les résultats de cette étude seront présentés toute la semaine à l’École Centrale de Lyon.

Conférences, exposition et ateliers se succèdent afin de découvrir et d’analyser les enjeux énergétiques et leur interprétation dans différentes cultures.

Tous ces événements sont ouverts aux étudiants et personnels de l’École ainsi qu’au public, afin de sensibiliser un maximum de personnes à la transition énergétique.

En savoir plus : site de l’Ecole Centrale de Lyon