LLe rendez-vous bien-être animal | La nutrition en parcs zoologiques Chaque semaine, la Chaire bien-être animal vous propose sur son site internet une nouvelle ressource en lien avec le bien-être animal ! Ce rendez-vous est relayé tous les mardis sur Facebook, Linkedin et Instagram avec le hashtag #LeRdvBEA. Suivez-nous !>> Le « Rendez-vous bien être animal » de la semaineLes parcs zoologiques accueillent de nombreuses espèces aux besoins nutritionnels très différents. Assurer leur bien-être et leur santé passe par une alimentation adaptée, élaborée avec précision. Mais comment définit-on les rations alimentaires des animaux en captivité ? Quels sont le défis que doivent relever les professionnels pour garantir une nutrition équilibrée ?Pour accéder à l’article, cliquez sur l’image :>> Les précédents « Rendez-vous bien être animal »Article – Impacts des différents types de sols sur le bien-être et le comportement des porcsArticle – Fiche espèce – Tout savoir sur le lapin domestique !Article – Le dérangement des animaux sauvages lié aux sports d’hiverVidéo – Le système des cases de mise bas chez les truiesArticle – Accès à l’extérieur et à la litière pour les poulettesPour retrouver tous les « Rendez-vous bien être animal », allez sur le site de CHAIRE Bien-être animal
LLes glaciers, sentinelles des changements climatiques en montagne | Avant d’aller sur mars ! Les Nations Unies ont fait de 2025 l’année internationale de la préservation des glaciers. Le constat fait aujourd’hui consensus : le caractère planétaire du recul des glaciers depuis les années 1950 est sans précédent. Sous l’effet de la hausse des températures, à laquelle ils sont très sensibles, les glaciers fondent. Depuis le milieu du XIXe siècle, ils ont connu une perte de masse de glace importante. À partir des observations que réalisent les glaciologues français et ailleurs dans le monde, nous illustrerons ces pertes de masse partout sur la planète et surtout dans les Alpes. Via des mesures sur le terrain, des images issues de satellites et des résultats de modèles, les résultats de l’évolution à venir des glaciers seront présentés ainsi que les conséquences pour les populations, en termes de montée du niveau des mers, de ressources en eau ou de risques naturels associés.Intervenante : Delphine Six, glaciologue.Organisée par : le Club EcoVeto Jr, avec Chloé Leroy et Alexandre Fontanella, étudiants à VetAgro Sup, dans le cadre du nouveau cycle de conférences Avant d’aller sur Mars !Le cycle de conférences Avant d’aller sur Mars ! propose des conférences mensuelles accessibles à tous les publics. Ce cycle est l’occasion d’ouvrir le débat sur des sujets environnementaux tels que l’état climatique, la question énergétique, la conservation de la biodiversité et bien d’autres sujets.> Vous pouvez assister à la conférence sur site ou en direct sur YouTube.>> Les archives de :Avant d’aller sur mars !
OOne Health : pour une approche pluridisciplinaire de la santé | « Dis pourquoi ? » ©RCF radioDis Pourquoi ? est une chronique de vulgarisation scientifique de 5 minutes diffusée chaque mardi sur RCF Lyon à 11h50. Dis Pourquoi ? questionne et explore notre univers par les sciences. Chaque semaine, une ou un scientifique répond aux questions et dévoile ses travaux de recherche.> Émission du 28 janvier 2025Alimentation, santé sociale et économique, bien-être… Et si tous ces enjeux se rencontraient dans le concept global de la « one health » ou « une seule santé » ? C’est en tout cas ce que pensent de plus en plus de spécialistes, dont Sébastien Gardon, docteur en science politique et inspecteur de santé publique vétérinaire à l’École nationale des services vétérinaires de VetAgro Sup, invité dans le numéro 14 du Pop’Sciences Mag, Santé[s], une vision globale, disponible en libre accès sur popsciences.universite-lyon.fr, ainsi que tout le reste de la collection.>> Écoutez le podcast :>> Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :RCF LyonPPour aller plus loinSanté[s], une vision globale, Pop’Sciences Mag#14 – Décembre 2024
QQuand les vecteurs attaquent Quelques clés pour comprendre les maladies vectorielles en FranceLes maladies vectorielles représentent un défi croissant pour la santé publique et animale en dans le monde en général, et la France hexagonale ne fait pas exception. Cette conférence propose de décrypter les problématiques liées à ces pathologies, avec un éclairage particulier sur les maladies affectant les animaux.À travers des exemples récents tels que la Fièvre Catarrhale Ovine (FCO), le Virus de la Fièvre Hémorragique de Crimée-Congo (CCHFV) et la Maladie Hémorragique Épizootique (MHE), nous explorerons les dynamiques d’émergence, les impacts sur les écosystèmes et les stratégies de prévention. Une occasion unique de mieux comprendre et anticiper ces enjeux majeurs pour la santé et l’agriculture.Intervenant : Vincent Legros, enseignant en pathologie infectieuse à VetAgro Sup (Campus vétérinaire), chercheur détaché au Centre international de Recherche en Infectiologie, dans le laboratoire EVIR dirigé par François-Loïc Cosset.Pour en savoir plus :Musée de sciences biologiques
LLes libellules de France : biologie, écologie, conservation | Avant d’aller sur Mars ! Les libellules, véritables fées de nos mares, fascinent l’humanité depuis toujours par leur élégance, leurs couleurs éclatantes, ainsi que par leurs impressionnantes capacités de vol, comparables à celles d’un hélicoptère.Cette conférence vous plongera dans l’univers captivant des libellules : nous explorerons ce qui fait d’elles des créatures uniques, depuis leur biologie en tant qu’êtres semi-aquatiques jusqu’à leur rôle écologique. Nous aborderons également les nombreuses menaces qui pèsent sur ces espèces et leurs habitats, soulignant l’importance de leur préservation pour la biodiversité.Animée par : Mathieu Miquel, étudiant à AgroParisTech en cursus ingénieur.Organisée par : le Club EcoVeto Jr, avec Chloé Leroy et Alexandre Fontanella, étudiants à VetAgro Sup, dans le cadre du nouveau cycle de conférences Avant d’aller sur Mars !Le cycle de conférences Avant d’aller sur Mars ! propose des conférences mensuelles accessibles à tous les publics. Ce cycle est l’occasion d’ouvrir le débat sur des sujets environnementaux tels que l’état climatique, la question énergétique, la conservation de la biodiversité et bien d’autres sujets.> Vous pouvez assister à la conférence sur site ou en direct sur YouTube.>> Les archives de :Avant d’aller sur mars !
DDécarboner la santé pour soigner durablement Du bilan carbone de la santé humaine à la décarbonation de la santé animaleL’économie française a pour ambition d’arriver à la neutralité carbone en 2050, afin de ne plus contribuer au dérèglement climatique. Quel qu’en soit le scénario, il passe par une réduction de nos émissions de gaz à effet de serre de près de 80%. Le Shift project a fait une analyse approfondie du secteur de la santé humaine et des leviers de décarbonation possible. Nous examinerons ensemble ces travaux et ces leviers de transformation pour imaginer un secteur de santé vétérinaire désirable pour 2050.”Intervenant : Stéphane Renard>> A suivre :en ligne sur Youtube ,en présentiel, sur inscription.« Avant d’aller sur Mars », est un cycle de conférences proposé par les étudiants de VetAgro Sup pour ouvrir le débat sur des sujets environnementaux.Pour plus d’information, rendez-vous sur le site :Vetagro sup
SSommes-nous trop nombreux sur Terre ? | Avant d’aller sur Mars « Plus de 8 milliards d’humains en 2024… et combien demain ? »Pendant des milliers d’années, Homo sapiens a été une espèce rare dont les effectifs n’augmentaient que lentement. Cependant, à partir de 1800, la population a connu une croissance rapide, d’abord dans les pays riches puis, à partir du XXe siècle, dans les pays pauvres. Cette phase, unique dans l’histoire de l’humanité, pourrait toucher à sa fin d’ici 2100.Au cours de cette conférence, nous explorerons les raisons de la croissance démographique exceptionnelle de notre espèce depuis le XIXe siècle jusqu’à nos jours.Quelles sont les raisons de cette croissance démographique spectaculaire ?Va-t-elle perdurer ?Comment expliquer la stabilisation annoncée ?Est-ce lié à une surpopulation, à la dégradation de l’environnement ou à une détérioration de la santé ?Animée par : Gilles Pison, professeur émérite et conseiller de l’institut national d’études démographiques.Organisé par : le Club EcoVeto Jr, avec Chloé Leroy et Alexandre Fontanella, étudiants à VetAgro Sup, dans le cadre du nouveau cycle de conférences Avant d’aller sur Mars ! Le cycle de conférences Avant d’aller sur Mars ! propose des conférences mensuelles accessibles à tous les publics. Ce cycle est l’occasion d’ouvrir le débat sur des sujets environnementaux tels que l’état climatique, la question énergétique, la conservation de la biodiversité et bien d’autres sujets.>> Vous pouvez assister à la conférence sur site ou en direct sur YouTube.>> Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site :VetAgro Sup
CChangement climatique et élevage : du bien-être animal à la santé au travail des éleveurs Peu de travaux ont été réalisés jusque-là sur les conséquences des changements climatiques sur l’élevage et ses acteurs, humains et animaux. C’est l’ambition que poursuivent depuis 2021 des groupes d’élèves de l’ENSV-FVI | VetAgro Sup dans le cadre de leur formation en sciences politiques (Master Politiques de l’Alimentation et Gestion des Risques Sanitaires-PAGERS) en réponse à une commande de la Direction Générale de l’Alimentation (Florence Dépersin) et de la Chaire Bien-être animal (Luc Mounier).Dirigés par Floriane Derbez, maîtresse de conférences en sociologie à l’Institut Agro (Dijon), deux Groupes d’Études de Politiques Publiques (GEPP) ont mené l’enquête afin de documenter les impacts du changement climatique sur les pratiques d’élevage en lien avec le bien-être animal. Investiguant respectivement la filière « Poules pondeuses » et la filière « Bovin lait », ils ont identifié les adaptations et les innovations des éleveurs en lien avec les conditions de vie de leurs animaux, leurs apprentissages et le travail des émotions dans le contexte fait d’incertitudes et d’inquiétudes quant à l’avenir de leurs filières et des changements climatiques. De manière assez inattendue, ces enquêtes ont aussi fait surgir un questionnement autour de la santé au travail de ces éleveurs qui travaillent dans des conditions rendues plus difficiles au fil des ans.Un premier travail a été conduit en 2021-2022 par Kahina Boukais, Rébecca Dubost, Antoine Durif, Alexandre Fernandez, Sarah Gallien, Sophie Scheidecker, Jackie Tapprest et Morgane Vallerian. Il explore la manière dont les éleveurs de poules pondeuses perçoivent les modifications du climat et décrit les modifications de leurs pratiques d’élevage dans le but de favoriser le bien-être de leurs animaux. Ces perceptions varient selon les modes d’élevage et les aléas climatiques (vent, orages…) sont le plus souvent appréhendés via le stress qu’ils génèrent chez les animaux (les poules stressées par le vent, la grêle et les orages ou fuyant le soleil…). Si les inondations imposent de garder les poules à l’intérieur et que les chaleurs ont pour conséquence d’augmenter la dépense énergétique (refroidir les œufs, ventiler le bâtiment, augmenter la consommation d’aliments en bâtiment…), il peut aussi s’agir pour les éleveurs de stratégies de choix d’espèces, de techniques agricoles, face au manque d’eau notamment. Les élevages en claustration semblent être avantagés sur les élevages en plein air.©DRAu total, certains éleveurs optent pour l’adaptation technique (panneaux solaires, bâtiments mobiles ou divisés en plusieurs étages, ventilation, ombre sur les parcours, plantation de haies…) et organisationnelle (adaptation des horaires de travail, départs à l’abattoir matinaux, modification de l’heure de distribution de l’aliment, modification de l’alimentation, vides sanitaires décalés) qui font converger les conditions de vie pour les animaux et les conditions de travail comme le suggère cet éleveur : « L’hiver je fais la poule : je commence plus tard et je finis plus tôt, et l’été on commence très tôt et on finit très tard ». Un autre éleveur confirme : « On est un peu pareils : l’été on attaque tôt quand il fait plus frais on bosse et puis à midi on fait une sieste ».Une seconde étude a été menée en 2022-2023 par Alice Cubillé, Laure Fourrier, Célia Maman, Marine Mastain et Margot Saumade en filière « Bovin lait ». Cette étude montre en quoi l’augmentation de fréquence et d’intensité des épisodes climatiques tels que les sécheresses, les inondations, les vagues de chaleur, les incendies, les grêles, constitue une incertitude forte pour les éleveurs qui se projettent difficilement dans l’avenir. Cependant, le rapport pointe aussi de fortes divergences dans les réactions de ces éleveurs, mettant en évidence différents profils. D’un côté, des “pionniers” mènent par anticipation des changements majeurs et structurels et sont alors de véritables acteurs d’une transition. Ils se sentent « prêts », leur anticipation tempère leur angoisse souvent forte quant au futur et aux bouleversements climatiques dans leurs fermes (absence de neige en hiver, modification des saisons, etc.) et la rapidité des modifications observées. D’un autre côté, des éleveurs préfèrent des innovations « incrémentales » et s’adaptent au gré des chocs. Ces derniers soulignent souvent que le métier d’éleveur consiste à se préparer à toute éventualité, préférant les changements progressifs aux transformations radicales.Le rapport montre que les changements climatiques désignent pour les éleveurs une énième tension pesant sur leur métier. Les principales transformations de pratiques et innovations observées concernent deux “dimensions” de la ferme : les parcelles de cultures et de prairies d’une part et de l’autre, les animaux. Dans la quête d’autonomie fourragère, le changement climatique invite à l’utilisation de nouvelles plantes plus adaptées au climat chaud sec comme le sorgho, de nouveaux mélanges prairiaux ou encore une transformation de leurs parcelles, en s’inspirant de modèles agroforestiers. Concernant les races d’animaux, les éleveurs recherchent une rusticité. Certains éleveurs font le choix d’apporter de nouvelles races et de nouveaux croisements. Ils espèrent ainsi obtenir des vaches plus adaptées au pâturage, plus résistantes aux épisodes de chaleur, plus robustes face aux pathologies. Par ailleurs, la traditionnelle traite biquotidienne est remise en question par des éleveurs qui pratiquent la monotraite ou l’envisagent. En préservant ainsi leurs vaches (monotraite, voire même tarissement pendant la période estivale), les éleveurs espèrent ainsi les aider à passer l’été de manière plus confortable. Les innovations liées aux bâtiments (brumisateur, ventilateur) ne font pas consensus chez les éleveurs, certains critiquant même l’emploi de ces technologies.Ces innovations reposent sur de nouvelles connaissances qui s’acquièrent et se construisent au sein d’environnements familiaux et professionnels différents où les partages d’expériences divergent. Les éleveurs peuvent en effet suivre des formations, obtenir des accompagnements techniques (les techniciens de la collecte de lait) ou échanger entre pairs au sein d’associations. Parmi les freins cités par les éleveurs dans la transformation de leurs pratiques vers des modèles plus durables, ceux-ci citent les Chambres d’agriculture, l’insuffisance de mesures et d’aides nationales et européennes encourageant les pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement, mais aussi la lourdeur administrative qui rend leurs démarches administratives difficiles à gérer et pénibles au quotidien.©DREnfin, plusieurs éleveurs envisagent une cessation de leur activité. Le changement climatique est la goutte d’eau qui fait déborder l’élevage. La filière bovine laitière française, encore grandement extensive, appelle à une réflexion sur la santé globale de la ferme en la resituant dans son environnement socio-économique. Finalement, penser l’avenir de l’élevage impose d’approfondir de façon concomitante l’exploration du bien-être des animaux et la santé au travail des éleveurs, à l’aune des changements climatiques en cours. C’est le projet d’un travail à démarrer à l’automne 2023.Auteurs : Sébastien Gardon, inspecteur de santé publique vétérinaire, ENSV-FVI | VetAgro SupAmandine Gautier, chargée de mission, ENSV-FVI | VetAgro SupMariam Godde, Chargée de mission Institut One Health, ENSV-FVI | VetAgro Sup>> Lire l’article original :Changement climatique et élevage
225 ans du comité d’éthique | VetAgro Sup VetAgro Sup – Institut national d’enseignement supérieur et de recherche en alimentation, santé animale, sciences agronomiques et de l’environnement – célèbre son 25e anniversaire. Cet établissement, sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, possède une histoire riche de 260 ans. Il se distingue en France par son approche pluridisciplinaire unique, formant des vétérinaires, des ingénieurs agronomes, et des inspecteurs de santé publique vétérinaire.Au cœur des enjeux du vivant, VetAgro Sup développe ses activités de formation, de recherche et d’expertise sur ses deux campus, adoptant une approche One Health, à l’interface des santés humaine, animale, et environnementale.À l’occasion de son 25e anniversaire, VetAgro Sup organise une journée dédiée à l’éthique dans les Écoles nationales vétérinaires de France (ENVF). En collaboration avec les Comités d’Éthique dédiés à la recherche clinique dans les quatre ENV françaises, cette journée promet des échanges et des travaux thématiques sur les Comités d’Ethique des ENVF.>> Au programme :En présentiel ou retransmission en ligne sur la chaine YouTube de VetAgro SupL’éthique clinique en action dans les Ecoles Vétérinaires Françaises 13h30 : Discours de bienvenue | Mireille Bossy et Frédéric Moysan14h : La recherche clinique vétérinaire : questions éthique, règlementaires, déontologique et intérêt scientifique | Jean-Luc Cadoré14h30 La recherche clinique humaine interventionnelle et non interventionnelle : une activité très encadrée, des questionnements éthiques spécifiques | Me Marie-Amélie Eudeline15h : Cas pratique en recherche clinique vétérinaire dans le domaine de la cancérologie | Gabriel Chamel, Maxime Cambournac15h30 : pauseÉthique et responsabilités des vétérinaires dans l’abandon et d’adoption des animaux15h45 : État des lieux des travaux du CNR BEA pour l’Observatoire de la protection des carnivores domestiques (OCAD). | Julia Souyris16h15 : Bonnes pratiques et précautions lors d’une adoption | Lorene Jacquet16h45 : La responsabilité des vétérinaires lors de l’abandon d’animaux en soins | Laurent Lenglet, Estelle Prietz17h15 : Clôture>> Pour en savoir plus rendez-vous sur le site :VetAgro sup
CComment les microbes structurent notre monde ? | Cycle « Avant d’aller sur Mars ! » Les microbes influencent notre monde jusque dans nos cellules. Leur étude offre des clés pour une meilleure gestion de notre environnement. Intrigués ? Cette conférence promet d’être une plongée captivante dans le monde des microbes, comment ces derniers établissent des relations à bénéfices mutuels avec les gros organismes.Pourquoi Les plantes et tous les êtres vivants comme nous ne peuvent vivre sans microbes, qu’ils contiennent jusque dans leurs cellules ? Comprendre cette présence dégage des leviers pour la santé, et une meilleure gestion de l’environnement.Intervenant : Marc-André Selosse, microbiologiste et écologue – Responsable de l’équipe Interaction et Évolution Végétale et Fongique, et professeur – Muséum d’Histoire Naturelle.Pour en savoir plus :Avant d’aller sur Mars !>> Pour suivre la conférence sur YouTube : cliquez ici>> Suivre l’actualité de « Avant d’aller sur Mars ! » sur Instagram : cliquez iciVVoir ou revoir Les précédentes conférences :Cycle « AVANT D’ALLER SUR MARS ! »