LLes Européens face à la guerre | CONFÉRENCE REPORTÉE Au vu des tensions actuelles aux niveaux national et international, La Confluence des Savoirs a décidé de reporter à une date ultérieure la conférence prévue le 7 novembre 2023 « Les européens face à la guerre » (avec Michel Foucher et Najah Albukaï).Confluence des savoirs
DDes tableaux pour comprendre les transformations du littoral français ? Connaître les transformations intervenues sur les littoraux au cours des derniers siècles est essentiel pour mieux aménager ces espaces particulièrement touchés par l’urbanisation et les changements environnementaux. Mais comment étudier ces évolutions sans savoir à quoi ressemblaient les rivages il y a plusieurs siècles, à l’époque où les instruments scientifiques capables de fournir des données précises n’étaient pas aussi perfectionnés qu’aujourd’hui ? Des géographes ont eu une idée originale : utiliser les peintures de paysages maritimes pour découvrir et expliquer l’évolution des zones côtières de Bretagne et de Normandie, qui ont subi ces dernières années des mutations très rapides. Oui, les peintres peuvent nous aider à retracer l’histoire du littoral breton !> À lire dans son intégralité sur :PAPIER-MÂCHÉ
LLe parcours MACsup MACsup : un projet collaboratif entre étudiants, enseignants-chercheurs et artistesLe projet MACsup est une expérimentation lancée en 2017 par le Musée d’art contemporain de Lyon et ses trois partenaires universitaires historiques, l’Université Claude Bernard Lyon 1, l’École Centrale de Lyon et l’École normale supérieure de Lyon, accompagnés par les Pratiques artistiques amateurs de l’ENSBA. Basé sur une envie commune d’imaginer une rencontre originale entre les processus de recherche scientifique et de création artistique, MACsup est un projet coopératif, transdisciplinaire et privilégiant une pédagogie active qui associe des étudiants, des enseignants chercheurs et des artistes. Une dizaine de séances de travail d’octobre à mars conduisent à un weekend de restitution public au musée d’art contemporain. Les échanges sont riches, les apprentissages multiples et tous témoignent d’une expérience unique et originale. Le public est au rendez-vous, enthousiasmé par cette rencontre avec l’enseignement supérieur et la recherche dans le cadre du Musée d’art contemporain.La saison 1 a été conduite par les artistes Félix Lachaize et Thierry Boutonnier avec les projet BAC+couches de poussière et RUBISco.Jan Kopp et Félix Lachaize ont animé la saison 2 en concevant avec leur groupe Sur le chemin des Poudingues et le Percefac ; les étudiants et chercheurs de l’INSA ont rejoint le projet.MACsup a démarré sa troisième saison en octobre 2019 avec 3 artistes Jan Kopp, Nicolas Daubanes et Linda Sanchez et de nouveaux partenaires qui se joignent à l’aventure : l’Université Jean Moulin Lyon 3, l’EMLyon Business school et l’association Singa Lyon (insertion des migrants).Contact pour plus d’informations.Ce projet est rendu possible grâce au soutien de la Région Auvergne Rhône-Alpes, de la Ville de Lyon, de la DRAC, de l’Université de Lyon (IDEX- CDproIP), du CNRS, et des établissements et laboratoires impliqués dans le projet.
AARTSCIENCE De la rencontre naît l’œuvreARTSCIENCE se situe au croisement de l’art, des sciences et de la médiation scientifique. Ce projet, initié par l’association DéMesures en partenariat avec la Taverne Gutenberg, a pour objet la création d’œuvres d’art inspirées par des images scientifiques. Les artistes ont sélectionné une image parmi plusieurs propositions anonymes, puis ont rencontré le.la scientifique volontaire pour l’expérimentation. Les œuvres ont été produites à l’issue d’un travail d’équipe de plusieurs mois entre le.la chercheur.euse, l’artiste et un.e médiateur.rice scientifique accompagnant l’évolution du projet. Des étudiants du master Didactique des sciences ont également participer aux échanges pour retranscrire la rencontre.4 artistes, 4 scientifiques :Nabil Tazi et Florence Ruggiero chercheur à l’IGFLMauricio Masoli et Yvon Jaillais, chercheur au RDPLaurent Perche et Fabien Montel, chercheur au laboratoire de PhysiqueJuliette Montier et Anissa Guillemin, chercheuse au LBMCExposition à voir dans le forum Félix Pécaut de l’ENS de Lyon, 15 parvis Descartes, jusqu’au 14 juin (accès libre de 9h à 19h du lundi au vendredi).Rencontre avec les artistes et les scientifiques jeudi 2 mai à 13h dans la salle commune, Site DescartesCe projet à reçu le soutien de l’Université de Lyon dans le cadre de l’appel à projet les arts du campus 2018.En savoir plus, consultez le site de :ENS de Lyon
MMACSUP#2 | Conjuguer Art et Sciences Depuis un semestre, les artistes Jan Kopp et Félix Lachaize se sont associés à des enseignants-chercheurs pour élaborer avec des étudiants des expériences conjuguant art & sciences. Leur mission : vous faire participer à la grande aventure macSUP #2 et vous transmettre le goût de l’expérimentation.Ainsi, un musée métamorphosé vous attend ce week-end ! Au programme, création d’un stop-motion participatif, forage de photos, observation de cailloux au microscope, atelier son, atelier gravure, ou encore robot-foreur qui se balade dans les espaces d’exposition…Venez-vous prêter au jeu, ces événements sont ouverts à tous ! Une seule condition : apporter un caillou !…En attendant, on vous propose de découvrir en vidéo les projets Percefac et Sur le chemin des poudingues pour en savoir plus sur la démarche macSUP.Avec : Université Claude Bernard Lyon 1, INSA Lyon, École normale supérieure de Lyon, École centrale de Lyon, École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon / pratiques artistiques amateur.MAC Lyon
FFESTIVAL INTERFÉRENCES CINÉMA DOCUMENTAIRE DÉBAT PUBLIC En matinée, le Festival Interférences propose des ateliers d’analyse de l’image. Le premier s’appuie sur deux courts-métrages documentaires qui explorent les possibilités infinies du « geste documentaire ». En brouillant la frontière entre le naturel et l’artificiel, croisant le réel à l’imaginaire, deux jeunes cinéastes convoquent la puissance de l’image et du montage pour nous plonger à l’orée d’un nouveau jour, à l’aube d’un nouveau monde.LES FILMS :BODYCAM.STÉPHANE MYCZKOWSKIFRANCE | 2017 | 17 MINUTES | VOSTDepuis le début des années 2010, de nombreusesvilles américaines équipent leurs officiers de policede caméras corporelles, petits appareilsd’enregistrement qui se fixent sur la poitrine. Lesagents portant une caméra ont le devoir de l’allumerau début de chacune de leurs interventions.Rêvent-elles de robotsastronautes ?SARAH DEL PINOFRANCE | 2017 | 25 MINUTESSous l’esthétique d’une science fiction la caméraabandonne peu à peu le monde des humains pourpénétrer dans un monde parallèle. Nous découvronsun microcosme fabriqué par l’Homme etpourtant déserté par ce dernier.ACCOMPAGNÉ PAR L’ASSOCIATIONKINOKS, COLLECTIF D’ÉTUDIANTSEN CINÉMA DE L’UNIVERSITÉLUMIÈRE LYON 2 INFOS PRATIQUESLe site du festivalRéservez votre placeOrganisé par l’association Scènes Publiques
DDe l’Air ! Besoin d’air ? Frais ? Heu… Pur ? Ben… Besoin de reprendre son souffle ? Quand Homo sapiens doit vivre des situations de plus en plus contraintes dans ses lieux de travail, d’habitation, de loisirs, comment cet animal moderne fait-il pour respirer (dans tous les sens du terme) ?La Nième compagnie s’empare de ce territoire de jeu pour construire un théâtre de sensations, d’images, comme une peinture dans laquelle surgissent des histoires. En bref, que vous en manquiez ou pas, venez prendre l’air (du temps) avec nous !Nième CompagnieMise en apnée : Claire TrucheAvec : Juliette Charré-Damez Véronique Ferrachat, Jean-Camille Goimard, Rémi Rauzier, Jaufré Saint Gal de Pons François Salès. Costumes : Anne Dumont. Lumières : Stephan Meynet. Son : Olivier Leydier. Vidéo : Jean-Camille Goimard et François Salès. Musique : Véronique Ferrachat et François Salès.Théâtre Astrée
DDépolluer avec… des tissus lumineux Platonium, une œuvre à la croisée des sciences et de l’art.Du 8 au 10 décembre 2016, les visiteurs de la Fête des lumières, à Lyon, ont pu admirer Platonium, une œuvre inédite dressée à l’initiative du CNRS. (Re)découvrez, dans cette vidéo publiée en partenariat avec Le Monde, une technologie utilisée dans cette installation et développée par des chercheurs lyonnais : un textile « intelligent » comprenant des fibres optiques et capable d’absorber certains polluants présents dans l’environnement.Pour visionner le film, rendez-vous sur le site de :CNRS Le journal PPlatoniumPlatonium- ©Vanessa Cusimano-Com CNRS-DR07Trois voyages en un vous attendent avec Platonium : le premier est une plongée vertigineuse dans l’infiniment petit et l’infiniment grand ; c’est aussi une œuvre qui vous transporte d’un espace sombre, foisonnant d’images mystérieuses, vers un autre, très grand, où un puits de lumière monumental joue avec façades et fontaine ; enfin, derrière cette production se cache une dimension scientifique prodigieuse que chacun peut explorer avant ou après sa visite sur ce site.Cette œuvre immersive a été conçue dans le cadre de l’Année internationale de la lumière à partir de recherches scientifiques lyonnaises de pointe et réinterprétées par des yeux d’artistes. Certaines font écho à la COP21, conférence internationale sur le climat (Paris, nov-dec. 2015).Initialement prévue pour la Fête des lumières 2015, annulée, elle a été présentée pour la première fois lors de l’édition 2016 de cette manifestation.En partenariat avec : Université Claude Bernard Lyon 1, Université de Lyon. Avec la participation de : ILM, IRCELYON – Institut de recherches sur la catalyse et l’environnement de Lyon, CRAL. Platonium