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EN SAVOIR PLUS

Panique à la bibliothèque | Escape game

PPanique à la bibliothèque | Escape game

À l’occasion de la programmation du festival Quais du Polar 2024, la Maison de l’Environnement de la Métropole de Lyon vous invite à venir participer à un escape game au sein de sa médiathèque. Mêlant sciences et investigation, cette enquête grandeur nature invite tous les curieux et curieuses à vivre une expérience immersive originale.

« Vous avez été engagés pour arrêter un groupe très dangereux : les Obscurantes. Ces individus sont des manipulateurs qui diffusent régulièrement de fausses informations scientifiques. Leur prochain coup aura lieu ce soir et provoquera la panique à l’échelle mondiale…Saurez-vous les arrêter à temps? »

Votre mission ? Vous appuyer sur votre sens de l’observation, le travail d’équipe et un esprit critique pour déconstruire une vague d’idées reçues. Mais attention, l’horloge tourne… Il vous faudra aller vite pour achever ce défi ! Suspense et adrénaline seront au rendez-vous !

  • Durée : 1h de jeu (prévoyez 1h30 au total).
  • Nombre de participants : de 4 à 14 joueurs, à partir de 12 ans

>> Pour plus d’information rendez-vous sur le site :

maison de l’environnement

Les rivières urbaines | 4 enquêtes géo-photographiques

LLes rivières urbaines | 4 enquêtes géo-photographiques

©DR

Depuis 10 ans, Pierre Suchet arpente les cours d’eau urbains pour mener des enquêtes géo-photographiques de longue durée en lien avec des chercheurs et chercheuses en sciences humaines et sociales. Le Furan à Saint-Etienne, la Nièvre à Nevers, le Lez à Montpellier et l’Yzeron dans la métropole lyonnaise ont ainsi été explorés pour interroger les rapports entre ces villes et leurs rivières, questionner les transformations effectuées au fil de l’histoire.



Par le prisme de la photographie, Pierre Suchet nous amène à voir autrement des paysages du quotidien, a priori banals mais qui, à y regarder de plus près, nous racontent beaucoup de nos relations – passées, présentes et futures – aux rivières des villes. Grâce à un travail d’enquête, à la croisée des sciences sociales et des dynamiques hydriques, le photographe dresse un état des lieux géographique, historique, implacable, d’amont en aval, du cheminement de quatre cours d’eau français.

En explorant l’inexploré, comme le propose Baptiste Morizot, les photographies charrient avec elles des questionnements nombreux : comment les rivières sont-elles ou non intégrées aux projets urbains ? Quelles appropriations sont à l’œuvre par les habitants ? Comment se négocie la cohabitation entre les espèces ? Que peut-on attendre des projets de restauration écologique ?

>> Programme :

  • Mercredi 17 janvier de 19 à 20h : émission sur Radio Anthropocène avec François De Gasperi
  • Samedi 20 janvier à 15h : conférence
  • Jeudi 8 février à 18h30 : visite commentée de l’exposition
  • Jeudi 15 février à 18h30 : rencontre avec Marylise Cottet , géographe au CNRS et Mathieu Hervé (directeur du SAGYRC – syndicat de la rivière Yzeron), animée par Léa Glacet, La Géothèque
  • Samedi 2 mars à 15h : rencontre avec Matthias Boureau, Bassin Versant des Nièvres
  • Samedi 9 mars à 15h : rencontre avec Julie Noirot , Maîtresse de Conférence en Photographie – Université de Lyon)
  • Lundi 11 mars à 19h : projection au Périscope du film Méandres de Marie Lusson et Émilien de Bortoli, en présence de la réalisatrice

 

>> Pour plus d’information, rendez-vous le site :

Archipel

Pop’Sciences Mag : donnez-nous votre avis !

PPop’Sciences Mag : donnez-nous votre avis !

Énergies, Océans, Émotions, Tourisme …  Depuis maintenant 6 ans et 12 numéros, Pop’Sciences Mag se saisit de grandes thématiques sociétales, pour les éclairer par le regard pluridisciplinaire de nombreux chercheurs et experts.

Vous êtes les lecteurs de Pop’Sciences Mag et, en ce sens, les garants de notre ligne éditoriale. Dans une perpétuelle quête d’améliorations de notre magazine, nous souhaitons recueillir votre avis !

Nous vous proposons ainsi de répondre à un questionnaire, qui vous prendra environ 10 minutes.

Nous vous remercions par avance de vos réponses, qui nous seront d’une grande utilité pour continuer à vous proposer un contenu de qualité et qui corresponde à vos attentes.

Pour répondre à l’enquête :

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Retrouvez toute la collection des Pop’Sciences Mag ici.

Escape Game – Panique dans la bibliothèque

EEscape Game – Panique dans la bibliothèque

Visuel escape game panique a la bibliotheque

A l’occasion de la programmation Échos polar du festival Quais du Polar 2023, Le Maison de l’Environnement de la Métropole de Lyon vous invite à venir participer à un Escape Game au sein de sa médiathèque.

Mêlant sciences et investigation, cette enquête grandeur nature invite tous les curieux et curieuses à vivre une expérience immersive originale.

Votre mission ? Vous appuyer sur votre sens de l’observation, le travail d’équipe et un esprit critique pour déconstruire une vague d’idées reçues. Mais attention, l’horloge tourne… Il vous faudra aller vite pour achever ce défi ! Suspense et adrénaline seront au rendez-vous !

 

Gratuit sur inscription

Durée : 1h de jeu (1h30 au total).

Nombre de participants : 2 à 6 joueurs, à partir de 12 ans

Comment sont fabriqués nos souvenirs ? | Enquête

CComment sont fabriqués nos souvenirs ? | Enquête

Nos souvenirs de notre vie éveillée, nos souvenirs de rêve, comment le cerveau les stocke-t-il ? Comment les construit-il ? Nous œuvrons à mieux les comprendre…

©CRNL

Une enquête par l’équipe Perception Attention Mémoire du Centre de Recherche en Neuroscience de Lyon – CRNL fait appel à vos témoignages pour aider les chercheur.e.s à mieux comprendre comment sont faits nos souvenirs. Cette enquête a été initiée en octobre 2022 et a déjà recueilli de nombreuses réponse. Cependant, l’équipe de recherche qui mène cette étude manque de réponses de personnes du genre masculin…

Donc si vous êtes concerné, il vous suffit de remplir le formulaire en lien ci-dessous (durée : environ 15 min). Vos réponses sont complètement anonymes. Plus le nombre de réponses sera important, plus les conclusions seront fiables (merci de ne pas répondre plusieurs fois, ce qui fausserait les résultats).

Vous pouvez répondre à l’enquête dès à présent si vous vous souvenez de votre rêve de cette nuit. Si ce n’est pas le cas, vous pourrez répondre le jour où vous vous souviendrez d’un rêve au réveil !

Enquête réalisée par  : l’équipe Perception Attention Mémoire du CRNL.

>> Pour participer :

cliquez ici

Les résultats de l’enquête seront disponibles dès qu’ils seront publié dans un journal scientifique (pas avant 2024) sur le site https://sites.google.com/view/perrineruby/home

Sommes-nous d’accord pour laver notre linge avec de l’eau recyclée ? | Un dossier Pop’Sciences – épisode 3

SSommes-nous d’accord pour laver notre linge avec de l’eau recyclée ? | Un dossier Pop’Sciences – épisode 3

Le projet Life RECYCLO a pour objectif de développer un procédé de recyclage des eaux usées adapté au secteur de la blanchisserie. Dans le cadre de ce projet, s’est alors posée la question suivante : cela est-il acceptable, à la fois pour les gérants et les clients de blanchisseries, de laver du linge avec de l’eau recyclée ?

Dans le cadre du projet européen Life RECYCLO, la société TreeWater, une start-up lyonnaise issue du laboratoire DEEP de l’INSA Lyon, développe un procédé de traitement et de recyclage des eaux usées pour le secteur de la blanchisserie. L’objectif ? Proposer un procédé qui éliminera plus de 90 % des polluants issus des eaux de lavage de blanchisseries, et qui recyclera 50 à 80 % de ces eaux, pour qu’elles puissent être réutilisées par ces mêmes entreprises dans leur processus de nettoyage.

Une enquête sociale

Au sein de ce même projet, il a été décidé de mener une enquête de perception auprès d’acteurs de la blanchisserie afin de mesurer leur degré de sensibilisation à la nécessité de préserver l’eau, mais également de mesurer le degré d’acceptation d’un procédé de recyclage des eaux usées. Organisée par Pop’Sciences, cette enquête a été menée de février à juin 2022 dans toute l’Europe. Elle visait alors à interroger des gérants de blanchisseries, mais aussi leurs clients, ainsi que des acteurs clés du secteur de l’eau et de la blanchisserie, tels que des membres de l’Agence de l’eau ou des représentants de syndicats du textile européens.

Cette consultation a été conduite selon les méthodes de la psychologie sociale par le cabinet AD-HOC Lab. Elle s’est déroulée en deux étapes : une première phase d’entretiens avec 18 personnes, suivie de la diffusion d’un questionnaire pour obtenir des données quantitatives. Au total, 66 réponses exploitables ont été recueillies avec ce questionnaire. Si les résultats de cette étude ne sont pas généralisables, ils donnent néanmoins les tendances de ce secteur.

Une conscience environnementale

Êtes-vous sensibles à la préservation de l’environnement ? Cela a été la première interrogation de cette consultation. Et la réponse est alors quasi unanime : oui ! La protection de l’eau n’est alors pas en reste. Pour 94 % des répondants, la préservation de l’eau est un enjeu important dans leur vie personnelle. Les participants vivant dans le sud de la France ou en Espagne sont d’autant plus sensibles à ces questions qu’ils sont déjà impactés par des pénuries d’eau. De nombreuses personnes interrogées rapportent avoir mis en place des actions dans leur quotidien pour préserver cette ressource. « Nous sommes en train de construire une maison avec ma conjointe et nous allons faire installer une citerne d’eau dans le jardin pour les toilettes, les machines à laver, l’arrosage du jardin », relate un participant.*

La blanchisserie : un secteur à améliorer

Suivant cette tendance, l’impact des blanchisseries sur l’environnement est alors perçu de manière négative, autant par les clients que par les gérants de blanchisseries eux-mêmes. Ils sont ainsi d’accord sur le fait que cet impact négatif est principalement dû à la consommation d’eau trop importante de cette activité. Sont, ensuite, mis en cause le rejet de matières polluantes et la consommation énergétique de ces entreprises.

Pour contrer cela, 71 % des gérants estiment mettre en place des actions pour avoir un fonctionnement éco-responsable. Cela passe, par exemple, par l’utilisation de produits de lavage écologiques, l’achat de machines moins consommatrices en eau ou une attention portée à l’utilisation de l’énergie.

Un procédé de recyclage attractif

Le procédé proposé par Life RECYCLO attire ainsi l’intérêt de tous : 82 % des gérants le trouvent intéressant et 93 % des clients sont prêts à recourir aux services d’une blanchisserie utilisant une telle technologie. La plupart des personnes interrogées se disent confiantes dans ce type de procédé. Et les promesses de cette technologie leur apparaissent comme satisfaisantes, tant au niveau des économies d’eau que pour les économies financières qu’elles pourraient engendrer. Pour les gérants, ces économies apparaissent ainsi comme le facteur principal pouvant motiver la mise en place d’un procédé de recyclage. La motivation d’ordre environnementale est aussi un facteur important.

Du point de vue des clients, le facteur économique est également un élément majeur. L’impact environnemental n’arrive qu’en quatrième position. Il y a, en effet, sur ce point-là une certaine ambivalence dans les réponses. Lors des entretiens, certains ont fait remarquer que si les blanchisseries consomment moins d’eau, alors ils espèrent que le prix va diminuer. Néanmoins, lors de la diffusion des questionnaires, 83,3 % des répondants se déclarent prêts à payer plus cher un service en blanchisserie pour que celle-ci réduise sa consommation d’eau.

Des freins économiques

Bien que ce procédé intéresse, les personnes interrogées ont soulevé un certain nombre de problématiques liées à la mise en place d’un tel procédé. Du point de vue des gérants, le principal problème est alors le coût initial. Tous les acteurs du secteur de la blanchisserie ont ainsi soulevé l’importance des aides financières gouvernementales pour inciter à la mise en place de ce procédé. Elles permettraient notamment d’offrir l’accès aux moyennes et petites blanchisseries, pour lesquelles le prix pourrait être une véritable barrière. Un représentant du syndicat du textile européen a ainsi souligné : « Je pense qu’il est clair qu’il est nécessaire de traiter l’eau. Mais si vous êtes une grosse entreprise, vous pouvez investir, alors que si vous êtes de petite taille, cela sera difficile. Et avec l’augmentation actuelle du gaz et de l’électricité, votre priorité est d’abord de survivre. Ils ne peuvent pas s’occuper de changements écologiques, s’ils ne peuvent pas survivre. »*

Gérants, comme clients, ont également soulevé le besoin de preuves de l’efficacité du procédé, notamment pour être certains que cela ne dégrade pas la qualité de lavage du linge. L’accréditation de la technologie par un label a, ainsi, été fortement recommandée. Il sera donc nécessaire de démontrer l’efficience de la technique pour tout procédé de recyclage. Il s’agit alors de l’un des principaux objectifs du projet Life RECYCLO, au sein duquel la technologie sera testée jusqu’en 2024.

Prêts à recycler l’eau

Utiliser de l’eau recyclée pour le lavage du linge semble donc mettre d’accord les participants de l’enquête. Les consciences sont déjà éveillées concernant la nécessité de préserver l’eau. Et les solutions pour garantir sa protection sont donc bien accueillies. Le principal frein a la mise en place et à l’utilisation réelles de ce type de procédé semble donc économique.

En France, des aides existent pour l’installation de telles technologies. Et Treewater proposera notamment d’accompagner les entreprises dans leurs recherches pour contribuer à la mise en place de ce procédé. Ils ont également pour objectif de maintenir un coût le plus faible possible pour cette technologie, pour permettre son accès aux petites blanchisseries.

* Les citations au sein de cet article proviennent directement de l’enquête et sont donc anonymisées.

PPour en savoir plus

 Dossier Life RECYCLO de Pop’Sciences

Des ressources et actualisations suivront cet article pour compléter ce dossier tout au long de l’année….

 

Covid-19 et effets sur le quotidien : participez à l’enquête !

CCovid-19 et effets sur le quotidien : participez à l’enquête !

Vous avez été atteint de la Covid-19 ? Des chercheurs du CNRS ont lancé un questionnaire pour mieux comprendre l’impact de la maladie sur la vie quotidienne et les besoins des personnes. Vous aussi, participez à la recherche !

A ce jour, plus de 100 millions de personnes ont été touchées par la Covid-19 dans le monde. La connaissance de la maladie a largement évolué entre la déclaration de la pandémie début 2020, et aujourd’hui. Aux symptômes connus en début de pandémie sont venus s’ajouter de nouveaux symptômes parfois persistants.

Si vous avez été atteint de la Covid-19, que vous soyez guéri ou non, aidez les chercheurs à mieux comprendre les effets de la maladie sur le quotidien et les besoins des personnes en répondant au questionnaire conçu par le Centre de recherche en neurosciences de Lyon.

Ce questionnaire ne vous prendra que 10 à 15 minutes pour y répondre. Les chercheur.e.s vous remercient par avance de votre participation à la recherche.

Participer à l’enquête

SSe documenter

De nombreux contenus sur le sujet de la Covid sont à votre disposition :

Enquête de lectorat Pop’Sciences Mag

EEnquête de lectorat Pop’Sciences Mag

Depuis maintenant 2 ans et demi, Pop’Sciences Mag se saisit de grandes thématiques sociétales, pour les éclairer par le regard de nombreux universitaires, chercheurs, experts et militants.

©Thierry Fournier

Vous êtes les lecteurs de Pop’Sciences Mag et, en ce sens, les garants de notre ligne éditoriale. C’est pourquoi nous vous remercions de répondre à cette courte enquête et de nous aider à améliorer le magazine de culture scientifique de l’Université de Lyon.

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"Sciences" est ici entendu au sens large : recherches, innovations et débats en sciences fondamentales, en santé ou en sciences humains et sociales

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Pop’Sciences : votre avis nous intéresse !

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A l’attention des visiteurs et des abonnés à Pop’Sciences

Dans un souci d’amélioration du site Pop’Sciences et pour être au plus près de vos attentes, nous vous invitons à répondre au questionnaire en lien ci-dessous.

Le questionnaire est parfaitement anonyme et ne vous prendra pas plus de 5 minutes.

Toute l’équipe Pop’Sciences vous remercie par avance pour votre participation !

Répondre au questionnaire

 

 

Covid-19 : Odorat et qualité de vie

CCovid-19 : Odorat et qualité de vie

Alors que beaucoup de patients atteints par le Covid-19 connaissent une perte du goût (agueusie) et/ou de l’odorat (anosmie), plus de 500 chercheurs et chercheuses originaires de 38 pays se sont regroupés pour étudier ce phénomène. Une équipe du Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon est impliquée dans ces travaux de recherche, et a lancé une initiative d’information et d’enquête à destination du grand public.

<Du nez au cerveau : un site internet pour s’informer sur l’odorat

La perte brutale de l’odorat et du goût semble désormais être un symptôme caractéristique de l’infection au Covid-19, bien identifié par la communauté scientifique. Si les données de la recherche ne permettent pas encore de comprendre par quels mécanismes le virus peut altérer notre système olfactif, les neurosciences nous livrent de précieuses informations sur le parcours des odeurs du nez jusqu’au cerveau, les liens étroits entre odeurs et mémoire, ou encore les différents troubles olfactifs et les traitements possibles.

À l’initiative du Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon, un groupe de scientifiques et de médecins français a lancé un site internet d’information grand public, pour mieux comprendre ce qu’est l’odorat et comment fonctionne ce sens.

Consulter le site

<Covid-19, qualité de vie et perte d’odorat : les scientifiques mènent l’enquête

Vous avez constaté une baisse, brutale ou progressive, de votre odorat ? Que vous ayez reçu un diagnostic médical formel d’atteinte au Covid-19 ou non, votre témoignage peut constituer une aide précieuse pour mieux comprendre les possibles modifications sensorielles associées à la maladie, ainsi que leurs conséquences sur la vie quotidienne. Une équipe du Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon lance une enquête en ligne, avec l’objectif de mieux comprendre les interactions entre qualité de vie et troubles de l’odorat et du goût dans la population française, notamment en lien avec l’épidémie COVID-19. Ce questionnaire, anonyme, est à compléter en ligne.

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