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Diagnostic 2.0 : quand l’Intelligence Artificielle intervient | Un dossier Pop’Sciences

DDiagnostic 2.0 : quand l’Intelligence Artificielle intervient | Un dossier Pop’Sciences

Pour son dossier consacré aux nouvelles applications de l’Intelligence Artificielle (IA) à la santé, Pop’Sciences est allé à la rencontre des scientifiques et professionnels de la santé de la région Lyon Saint-Étienne pour mieux comprendre ce que ces nouvelles technologies peuvent apporter (ou pas) à la médecine, notamment en termes de diagnostic…

L’IA tend à se démocratiser dans de multiples domaines professionnels, dont ceux de la santé. Entre espoirs, fantasmes, peurs et applications réelles, cette nouvelle assistance nécessite aujourd’hui d’être mieux décryptée tant auprès des médecins que de leurs patients. Pop’Sciences vous propose de revenir sur quelques applications concrètes pour comprendre ce que l’IA, et ses capacités de calcul, peut faire pour aider les professionnels de la santé dans le diagnostic de la santé mentale, pour fluidifier la prise en charge des patients ou pour apporter toujours plus de précisions en imagerie médicale… mais aussi d’en percevoir les limites, car elle est encore loin de remplacer votre médecin.

  Les articles du dossier

©Freepik

Dans un monde en constante évolution, les chercheurs et médecins se tournent vers l’intelligence artificielle (IA) pour les aider dans la pratique médicale. Pop’Sciences vous dévoile les coulisses du processus de création d’une IA prête au diagnostic, une innovation qui repose sur la précision de la consultation médicale, la richesse des bases de données, et l’entraînement minutieux de modèles IA. En somme, quelle est la recette pour une bonne IA appliquée au diagnostic médical ?

 

Image générée par IA (Dall-E) ©Pop’Sciences

Se classant au deuxième rang des causes de mortalité en France après les accidents cardiovasculaires, les troubles liés à la santé mentale sont aujourd’hui une préoccupation majeure en termes de santé publique. Dans cette quête du « mieux prévenir pour mieux guérir », l’intelligence artificielle (IA) pourrait s’imposer comme un précieux allié dans le diagnostic des troubles mentaux.

 

 

Imagé générée par IA (Dall-E) ©Pop’Sciences

Alors que les avancées technologiques continuent de redéfinir la manière dont les professionnels de la santé prennent en charge les patients, l’IA s’insère de plus en plus dans la relation entre le patient et son médecin. Au cœur de cette transformation, Loïc Verlingue, médecin et chercheur au Centre Léon Bérard partage son expertise de l’IA dans le domaine des essais cliniques en cancérologie.

 

 

©Pexel

Améliorer l’interprétation de l’imagerie médicale (IM) pour en optimiser l’exploitation est au cœur des enjeux de l’intelligence artificielle (IA) au service de l’IM. L’IA n’est plus “seulement” un domaine de recherche en plein essor… mais ses utilisations en sont multiples.  Objectifs affichés : augmenter la précision du diagnostic afin d’améliorer la prise en charge thérapeutique, en évitant les erreurs potentiellement lourdes de conséquences. La guerre des algorithmes est ouverte pour aller toujours plus loin !

 

©Freepik

Entre confiance aveugle et méfiance absolue, comment l’IA doit-elle être éthiquement acceptée et utilisée ? Comment s’affranchir de potentiels biais humains dans les systèmes d’IA utilisés à des fins de diagnostic, ou même thérapeutiques ? Autant de questions qui ne sont plus l’apanage de débats scientifiques, mais doivent être au cœur de débats politiques et sociétaux.

 

 

©Freepik

Dans cette série de questions et réponses, les étudiants de première année du cycle d’ingénieur de l’EPITA, école d’ingénierie informatique, répondent à nos questions concernant l’IA. A-t-elle toujours raison ? Peut-elle développer des sentiments ? Ou, est-elle capable de réelles créations ? Les étudiants nous éclairent.

 

 

 

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MMerci !

Ce dossier a été réalisé grâce à la collaboration de chercheurs et médecins du bassin de recherche Lyon Saint-Étienne :

Ainsi qu’avec la participation de :

  • Maëlle Moranges, docteure en neuroinformatique, apportant son expertise de l’IA en tant que référente sur ce dossier
  • Pascal Roy, chercheur en biostatistique au Laboratoire de Biométrie et Biologie Évolutive – LBBE (Université Claude Bernard Lyon 1) et praticien hospitalier aux Hospices Civils de Lyon. Intervenu lors des rendez-vous professionnels LYSiERES² : « L’intelligence artificielle peut-elle remplacer le médecin ? »
  • Antoine Coutrot, chercheur en neurosciences computationnelles, cognitives et comportementales au Laboratoire d’Informatique en Image et Systèmes d’information – LIRIS (CNRS, INSA Lyon, Université Claude Bernard Lyon 1, Université Lumière Lyon 2, École centrale Lyon). Intervenu lors des rendez-vous professionnels LYSiERES² : « L’intelligence artificielle peut-elle remplacer le médecin ? »
  • Les étudiants de première année du cycle d’ingénieur de l’École pour l’Informatique et les Techniques Avancées (EPITA) : Léo Arpin, Adrien Guinard, Arthur De Sousa, Raphaël Hatte, Pierre Raimondi, Maui Tadeja, Mehdi Ismaili, Gregoire Vest, Emil Toulouse, Todd Tavernier, Remi Decourcelle, Paul Gravejal, Aymen Gassem, Sandro Ferroni, Nathan Goetschy, Rémi Jeulin, Clovis Lechien, Garice Morin, Alice Cariou et Eliana Junker

Nous les remercions pour le temps qu’ils nous ont accordé.

Un dossier rédigé par :

  • Léo Raimbault, étudiant en Master 2 Information et Médiation Scientifique et Technique (IMST) à l’Université Claude Bernard Lyon 1, en contrat d’apprentissage à Pop’Sciences – (Introduction, articles #1, #2, #3 et co-écriture des articles #5 et #6)
  • Nathaly Mermet, journaliste scientifique – (Articles #4 et #5)

Qu’est-ce qu’une machine intelligente

QQu’est-ce qu’une machine intelligente

Avez-vous remarqué que quand on prononce le mot « Intelligence Artificielle », on pense souvent à un robot ? Pourtant, la plupart des  » intelligences artificielles  » que l’on utilise aujourd’hui sont de simples programmes informatiques exécutés par des ordinateurs ou des téléphones portables… Ils n’ont pas de corps physique. Curieux non ?

Dans cette conférence, on cherchera à répondre à cette question. Nous commencerons par rappeler ce qu’est l’Intelligence Artificielle et ce que sont les robots… Puis nous nous intéresserons à quelques robots  » intelligents « . Et vous ? Croyez-vous qu’une Intelligence Artificielle puisse se passer d’un corps physique ?

Soirée scientifique de l’Université Ouverte Lyon 1 organisée en partenariat avec la ville de Villeurbanne.

UNIVERSITÉ OUVERTE LYON 1

      

Réconcilier industrie et société

RRéconcilier industrie et société

Pop’Sciences Mag – Pop’Sciences Forum | Novembre 2021

Avec son magazine et une programmation dédiée, Pop’Sciences nous invite à explorer la question du dialogue entre industrie et société par le biais de différents regards scientifiques.

En deux siècles, l’industrie a ouvert nos territoires sur le reste du monde, généralisé le confort d’une majeure partie de populations occidentales, développé d’importantes communautés de travailleurs dans l’après-guerre et dopé la croissance économique. Pourtant, des ruptures écologiques, sociales et économiques se sont produites entre elle et les citoyens ; il convient de les dépasser.

Pop’Sciences ouvre des perspectives de réconciliation entre industrie et société avec une programmation de culture scientifique, gratuite, ouverte à toutes et tous.

Un défi complexe, qui va plus loin que les seules relocalisations. Il faut imaginer les futurs métiers industriels, doter les territoires des ressources nécessaires à l’accueil de ces nouvelles filières, décarboner des secteurs encore trop polluants, préparer les habitants à la mutation industrielle de leur territoire et les impliquer dans les scénarios de réindustrialisation.

Ces rendez-vous Pop’Sciences s’intègrent à la Semaine de l’industrie, pilotée au niveau national par le ministère de l’Économie et des Finances

 

Ils soutiennent la réalisation de ce programme :

Pop’Sciences collabore avec les partenaires du Think & Do Tank sciences, société et industrie et le projet TIGA – Territoire d’innovation de Grande ambition – portée par la Métropole de Lyon.


Un jour, des robots capables d’émotions ?

UUn jour, des robots capables d’émotions ?

Créer des robots ou des avatars qui expriment des émotions est le Graal que poursuivent de nombreux scientifiques. Pour quels résultats ?

Cet article est extrait du Pop’Sciences Mag hors-série : Sous l’emprise des émotions

Par Benoît de la Fonchais   |   10 mars 2020

Ils ont fait le buzz au dernier CES, le salon de l’électronique et des nouvelles technologies qui se tient chaque année à Las Vegas. Présentés par Samsung, les « Neons » sont des avatars humains qui ont « la capacité de montrer des émotions et de l’intelligence ». Star Labs, la filiale californienne du géant sud-coréen à l’origine du projet, assure que les Neons « font la conversation et sympathisent comme de vrais humains ». Derrière cette promesse, un programme dénommé Core R3, censé assimiler l’apparence humaine, nos façons de nous comporter et d’interagir, en vue de générer des avatars hyperréalistes. Coup de bluff ou réelle avancée ? Les avis sont partagés. Une chose est sûre, de nombreuses équipes de recherche à travers le monde, se penchent sur le sujet.

C’est le cas de Behavior.ai, laboratoire lyonnais regroupant des chercheurs en intelligence artificielle de l’équipe SMA (Systèmes multi-agents) du laboratoire Liris1 et d’Hoomano, société développant des logiciels pour les robots sociaux. Leur objectif est de rendre les interactions homme-machine plus « empathiques, intuitives et naturelles ». On avance, mais il y a encore du chemin à parcourir, comme l’a prouvé l’expérience mise en place l’an dernier à la gare de la Part-Dieu à Lyon. Un robot de type Pepper a été mis en place pour renseigner les voyageurs pendant la durée des travaux. Las, au bout de quelques semaines, les responsables du projet se sont rendu compte que, si le robot suscitait bien la curiosité, il était rapidement abandonné par les utilisateurs. Comment éviter cette réaction de désengagement ? C’est à quoi s’emploie l’équipe de Behavior.ai.

Une interaction homme-machine empathique et intuitive ? ©Visée.A

Premier axe de travail : permettre au robot de détecter l’ennui chez son interlocuteur. « On utilise à la fois des algorithmes d’apprentissage par essai-erreur et des logiciels de reconnaissance des expressions faciales« , explique Laurianne Charrier, ingénieure d’études. Et cela marche plutôt bien. Mais cela se complexifie lorsqu’il s’agit de faire interagir le robot de manière appropriée à l’expression et aux gestes de son interlocuteur. Pour cela, les chercheurs utilisent la voie de l’apprentissage comportemental. « L’idée, c’est de permettre au robot d’apprendre uniquement à partir de son expérience d’interaction avec les humains, sans recourir à des scénarios préétablis« , indique Salima Hassas, chercheure au Liris.

Encore faut-il lui en laisser le temps ! S’il détecte un désengagement de l’attention de son interlocuteur, le robot doit être capable de rétablir le contact avec lui par un comportement qui suscite l’empathie. Ayant le sentiment que le robot le comprend (on parle d’empathie « perçue »), l’utilisateur revient alors dans l’interaction. C’est la force des émotions, qui mobilisent notre attention, notre mémoire et nous poussent à l’action. L’équipe de Behavior.ai cherche ainsi à divertir l’utilisateur le plus longtemps possible. Amélie Cordier, responsable scientifique d’Hoomano, précise :

Amélie Cordier

« Pour cela, on implémente des algorithmes qui permettent au robot de proposer des interactions à partir des réactions qu’il perçoit chez son interlocuteur »

 

Alors, les robots seront-ils un jour capables d’émotions ? Rien n’est moins sûr. On sait depuis longtemps créer des personnages qui expriment des émotions : c’est le talent des artistes. On est capable, comme on vient de le voir, d’apprendre à un robot à décrypter les émotions d’un être humain. Mais il paraît fortement improbable qu’un robot puisse un jour ressentir une émotion, cette expérience subjective impliquant une conscience de soi, corps et esprit.


1 > Laboratoire d’Informatique en Image et Systèmes d’Information (Université Claude Bernard Lyon 1 – CNRS – INSA de Lyon – Université Lumière Lyon 2 – École Centrale de Lyon)


Cet article est extrait de l’enquête « Ce que nos décisions doivent à nos émotions« , issue du Pop’Sciences Mag hors-série « Sous l’emprise des émotions ».

Le robot qui décryptait nos émotions

LLe robot qui décryptait nos émotions

Dans cet épisode de la série « Inventions, la saga continue », découvrez le logiciel BEHAVIORS.AI. Son objectif : parvenir à des interactions plus naturelles entre une personne et un robot en apprenant à ce dernier les expressions et les gestes des humains.

De plus en plus de robots sont amenés à interagir avec les humains au quotidien. Le Laboratoire d’informatique en image et systèmes d’information (Liris) s’est allié à la startup Hoomano pour développer un logiciel intégrant de l’intelligence artificielle : BEHAVIORS.AI.

Leur objectif ? Que le robot apprenne les expressions et les gestes des humains pour donner l’impression d’interagir avec eux de la façon la plus naturelle possible.

Voir la mini-série complète :

Inventions, la saga continue

atelier science robotique

aatelier science robotique

Les ateliers des p’tits curieux sont proposés par Planète Sciences Auvergne-Rhône-Alpes un mercredi par mois pour découvrir à partir de 7 ans les sciences de manière ludique par l’expérimentation.

Mercredi 17 octobre : Fabrique ton mini robot !

Découvre l’électricité grâce à plusieurs expériences puis crée un circuit électrique permettant de concevoir un mini-robot que tu pourra emporter chez toi à la fin de l’atelier !

plus d’infos sur le site de Planète Sciences

 

Mon robot m’aime (ça se voit)

MMon robot m’aime (ça se voit)

Le boulot d’un robot, c’est de nous rendre la vie plus facile (enfin en principe).

Pour qu’il puisse faire correctement son boulot, il faut que nous soyons capables d’interagir avec lui. Et pour que nous interagissions correctement avec lui, il faut que le robot nous soit sympathique.

C’est comme ça : nous sommes des animaux sociaux. Le robot, lui, est programmé pour avoir l’air sociable.

Vous ne pensez pas que dans les années à venir, notre vie affective avec les robots va devenir un peu compliquée ?

Venez en discuter avec une spécialiste des robots, en chair et en os !

Un rendez-vous libre et gratuit proposé par Sciences pour Tous

 

Dans le cadre des rencontres Expresso organisées par Sciences pour Tous

Fête de la Science à l’Ecole d’Ingénieurs en Chimie et Sciences du Numérique | #FDS2018

FFête de la Science à l’Ecole d’Ingénieurs en Chimie et Sciences du Numérique | #FDS2018

 

  • Showroom Robotique et Domotique
    Mercredi 10 octobre, de 9h à 12h
    Jeudi 11 octobre, de 15h à 17h

Les élèves sont invités à visiter le showroom de l’école, où seront exposés différents robots, et à assister à une présentation pour comprendre comment on programme les robots pour qu’ils exécutent de manière autonome les tâches dans un foyer, ou encore pour qu’ils aient une relation directe avec les occupants du foyer…

Durée : entre 1h et 2h

Intervenants : Y. Layouni, F. Jumel, R. Leber, J. Saraydaryan

Public visé :primaires, collégiens, lycéens | Inscription obligatoire

 

  • Je programme mon robot [ANNULÉ]

 

  • Je réalise ma fonction électronique
    Mercredi 10 octobre, de 14h à 17h

Les élèves sont invités à découvrir la fabrication d’une LED, puis à réaliser une fonction pour l’allumer, c’est-à-dire, à réaliser un montage électronique permettant d’allumer la LED quand une personne rentre dans une salle ou…

Durée : entre 1h et 2h

Intervenants : Y. Layouni, J. Galvan, F. Joly, H. Razafy

Public visé : primaires, collégiens | Inscription obligatoire

 

CPE LyoN

 

Consultez toute la programmation Fête de la Science 2018

en Métropole de Lyon et Rhône

Face aux IA, faut-il sauver le travail ?

FFace aux IA, faut-il sauver le travail ?

Une révolution technique, sociale et économique est en cours pour les entreprises et les travailleurs, au fur et à mesure des fulgurantes innovations proposées par l’intelligence artificielle.

Chacun d’entre nous pourrait être exposé, à plus ou moins long terme, au remplacement de tout ou partie de ses activités par un algorithme, un robot ou un logiciel. Les études d’impact se multiplient et offrent des scénarios plus ou moins « crépusculaire » pour le travail tel que nous le connaissons aujourd’hui. À quelles mutations des organisations du travail devons-nous nous préparer ? À quel point accepter et avoir confiance dans les décisions prises par un robot ou un algorithme ? L’intelligence artificielle mettra-t-elle fin au salariat ?

Revivez en vidéo cette soirée organisée en collaboration avec le Mouvement UP !

 

00:30 Introduction

06:40 Carte Blanche | Jérôme Chemin | Secrétaire national de la CFDT Cadres – en charge des questions numériques

24:25 Carte Blanche | Chems Idrissi | Avocat conseil – Cabinet Soulier

36:40 Débat :

Sylvaine Laulom | Professeure de droit privé – Directrice de l’Institut d’Études du Travail de Lyon – CERCRID (UMR 5137) – Université Lumière Lyon 2

Cyril Couffe | Docteur en sciences cognitives – Université Lumière Lyon 2. Directeur de la Chaire « Talents de la transformation digitale » – École de Management de Grenoble.

Pascal Corpet | Directeur Technique chez Bayes Impact            

 

 

 

Trop robots pour être vrais !

TTrop robots pour être vrais !

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Ateliers, bidouille, coding … pour les petits et les grands

Trois après-midi pour manipuler des objets, rencontrer des robots, bidouiller des machines et apprendre à coder. Bref se faire rencontrer petits et robots pour découvrir l’I.A au cœur du très “POP” Festival Mini Sonore !

« Crée ton Wall-e »

Le temps d’un atelier, les petits bidouilleurs en herbe imaginent un robot qui rend la ville plus agréable à vivre au quotidien ! En groupe, ils réfléchissent sur le concept de ville intelligente et de durabilité pour enfin créer un robot intelligent qu’ils matérialiseront en Légos et qu’ils animeront grâce à la technologie Thymios et la programmation visuelle.

 

1 / Présentation de l’atelier + Réflexion (20 min)

Les petits bidouilleurs doivent créer un robot utile à la ville. Leur robot devra répondre à un objectif de durabilité c’est à dire le maintien d’un environnement vivable, un développement économique positif et une organisation sociale équitable. Pour les aider dans leur réflexion, les petits bidouilleurs auront un fiche méthodo à remplir qui les guidera sur les matériaux à utiliser, l’énergie, son but et son fonctionnement. Afin de les aiguiller sur des thématiques diverses, des cartes “contraintes” leur seront distribué par groupe pour travailler sur des thèmes précis tels que la mobilité, l’énergie, l’environnement, l’accès à la culture ou encore l’accès au soin…

2 / Création (20 min)

Grâce à des légos, les petits bidouilleurs pourront construire leur robot révolutionnaire ! Ce petit temps de création se voudra ludique et créatif.

3 / Prise en main du logiciel (20 min)

Finalement, pour mettre en mouvement leur petit robot, les enfants apprendront à coder des thymios. Les thymios sont des petits robots qui se guident grâce à des capteurs infrarouges. Ils sont adaptés aux enfants de 8 ans à 12 ans. Leur prise en main est facile et ludique. Ils fonctionnent via une interface simplifiée. Cela leur permettra d’apprendre la programmation visuelle.

 

Sur inscription > mini-sonore.nuits-sonores.com

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crédits : Canadian Pacific